De l'infiniment grand à l'infiniment petit...

Suite à l'ignorance de certains quant à la nature de l'infiniment grand et de l'infiniment petit, voici un listing d'explication.


Il y a tout d'abord l'univers, dont les corps semblent être en mouvement orbital autour d'un corps central (mais l'univers n'ayant pas de limites, son centre se trouve impossible à déterminer).

Ensuite, inclus dans l'univers, existent des amas de galaxies qui gravitent autour d'une vieille galaxie centrale...

L'intérieur d'une galaxie est empli de très nombreux systèmes solaires... Qui sont encore en gravitation autour d'un noyau mystérieux, le coeur de la galaxie. Ce coeur pourrait être un trou noir extrêmement puissant.

Il y a ensuite dans ces systèmes solaires, une nouvelle configuration d'orbite autour d'un noyau (une étoile et dans notre cas, le Soleil).

C'est là que s'achève l'infiniment grand pour que l'on jette un coup d'oeil à l'infiniment petit... Pour quelles raisons nous divergeons sur l'infiniment plus petit ? Tout simplement parce que nous parlons maintenant de quelque chose de bien plus petit que nous et que la Terre est une partie d'un de ces systèmes, et non pas noyau...

Commençons notre plongée dans l'infiniment petit en commençant par les atomes. Les molécules sont des composantes de l'infiniment petit mais ne gravitant autour d'aucun noyau, elles ne sont pas classées parmi les entités de l'infiniment petit... Les atomes sont composés d'électrons positifs, ou négatifs, qui gravitent (un corps en gravitation n'est pas obligatoirement en mouvement autour de son noyau, il peut aussi rester stable). Ces électrons sont donc en gravitation stable autour de leur noyau. Si les électrons sont de charge positive, le noyau est obligatoirement de charge négative pour que l'atome soit stable...

Or, les noyaux sont eux-mêmes composés de neutrons autour desquels gravitent des protons...

Protons qui, inévitablement, sont divisés en quarks qui gravitent autour du noyau de protons...

C'était une présentation de l'infiniment grand à l'infiniment petit!

 
 
~riku~
Publié le : 01/02/2007

 

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Très bonne initiative, il convient de commencer par le début, en effet, pour expliquer un si vaste sujet...



~Melaquablue~ le 03-02-2007 à 00:00
 

Voilà ce que je voulais dire... Où est la réponse parfaite dans toutes celles ci-dessus?
Les réponses se mélangent, se contredisent, se rallient puis s'éloignent de plus en plus, et pour finir le résultat ?? Pas grand chose... :(
Peut-être que la VRAIE réponse n'est pas encore découverte ou mise à jour...

(Voir les précisions au-dessus).



~liloo~ le 18-04-2007 à 00:00
 

Les atomes sont composés d'électrons positifs, ou négatifs, qui gravitent (un corps en gravitation n'est pas obligatoirement en mouvement autour de son noyau, il peut aussi rester stable). Ces électrons sont donc en gravitation stable autour de leur noyau. Si les électrons sont de charge positive, le noyau est obligatoirement de charge négative pour que l'atome soit stable...

Ne devrait-on pas plutôt parler d'orbite plutôt que de gravitation ? La gravitation est une force liée à la masse, or elle est négligeable à l'échelle des particules subatomiques. Il est nécessaire d'utiliser le bon lexique car ici il paraît ambigu et potentiellement trompeur (parler d'orbite à l'échelle atomique est en soi inexact mais pas absurde).

De même :
Or, les noyaux sont eux-mêmes composés de neutrons autour desquels gravitent des protons...
Je ne suis pas spécialiste, mais je ne comprends pas réellement ce que tu avances ici. Peut-être faut-il le développer, car les protons et les neutrons ont approximativement la même masse, comment peux-tu dire que l'un gravite autour de l'autre et que l'un est donc le noyau de l'autre ? De même, le mouvement des nucléons dans le noyau est me semble-t-il mal connu et sujet tout du moins à une interprétation quantique. Il serait nécessaire de détailler ou du moins expliciter l'interaction forte pour expliquer un tel comportement. Comment peux-tu utiliser une "approximation" (ou du moins une représentation) classique (car pour l'instant la gravitation demeure inquantifiable) à une échelle purement quantique ?

Dommage que plusieurs inexactitudes, ou du moins "implicitations" (oui j'aime les néologismes) viennent entacher cet article ma foi partant d'une bonne intention (car je n'ai, de plus, relevé que celles pour lesquelles j'étais sûr).


~Loreol~ le 26-03-2013 à 19:16
 

Bonjour, d'abord je voudrais féliciter les administrateurs de ce site pour leur travail, qui selon moi est remarquable, et bien plus.

Ensuite, je voudrais intervenir sur une des phrase de cet article "(mais l'univers n'ayant pas de limites, son centre se trouve impossible à déterminer)." Et bien il est prouvé, enfin presque, que l'univers à ses limites, car étant en expansion. Cette théorie est en cours d'approbation, mais elle résoudrait de nombreuses question, notamment la raison pour laquelle l'univers ne s'est pas encore effondré. C'est certes abstrait, mais si les galaxies s'éloignent, c'est qu'une force les attires, or cette force n'existe que si limite il y a. C'est donc la raison pour laquelle la phrase précédemment citée, ne devrait pas être aussi absolue, car tout est encore à découvrir dans notre cher univers.

Bien à vous, un terrien.


~abdel173~ le 03-09-2013 à 12:04
 

Je ne suis que mécanicien mais il me semble trouver quelques incohérences dans ce texte...

Je vais les exposer et vous direz ou je me trompe si c'est le cas.

Un électron est forcément négatif, c'est un Lepton de la famille des Fermions. Sa charge électronique est la négative de la charge élémentaire, soit e- : -1.602.10-19C.
Les électrons sont maintenue en "orbite" autour des nucléons par les photons électromagnétiques qui véhiculent le magnétisme.

Un atome étant toujours neutres, la charge de l'électron est forcément celle énoncé plus haut pour atteindre cette neutralité. La charge des nucléons dépend des quarks qui les constituent.
Les Nucléons sont soit neutres soit positifs, ce sont des Baryons de la famille des Hadrons, ils sont soumis à l’interaction forte véhiculé par les Gluons.
Le proton à une charge positive de 1.602.10-19C, elle s'explique par le fait que les quarks qui le constituent sont de charge fractionnaire ( Deux quarks up de charge +2/3e et un quark down de charge -1/3e).
Le Neutron à une charge Neutre, comme son nom l'indique. Tout comme pour le proton, cela s'explique par les quarks qui le composent (Un quark up de charge +2/3e et deux quark down de charge -1/3e).

Je ne comprend pas d'ou viennent ces électrons positifs et cette idée que les protons "gravitent" autour des neutrons... Ne serais-ce pas une confusion entre atome, de charge nulle, et ion, ayant une charge? Si c'est le cas, il faut savoir que les ions sont des atomes ayant gagné (Anion) ou perdu (Cation) un électron, ce qui explique leur charge, mais je n'ai jamais entendu parler d'atomes ayant des charges inversées... Pourriez-vous m'éclairer?


~Spes~ le 14-09-2013 à 16:47
 
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