Le Brouillon

Bonjour,

Ne sachant pas trop ou placer cette ébauche d'article, je la mets ici.
Comme vous l'avez sûrement deviné le thème abordé sera les OVNIs et leurs habitants. Je vais donc mettre quelques rencontres du premier, second, troisième ou quatrième type.

Un petit rappel:
- OVNI : Objet Volant Non-Identifié, vient de UFO (Unidentified flying object). Il désigne généralement les "soucoupes volantes".
- Rencontre du Premier Type : simple observation dans le ciel.
- Rencontre du Second/Deuxième Type : L'OVNI laisse des preuves matérielles, comme des traces au sol.
- Rencontre du Troisième Type : Le(s) témoin(s) voi(en)t un OVNI et ses occupants, ou alors seulement les soi-disant occupants d'un OVNI mais sans ce dernier.
- Rencontre du Quatrième Type : Le(s) témoin(s) prétend(ent) avoir été enlevés par les occupants d'un OVNI.

Pour l'instant, la quantité d'informations est immense et je me permets de trier entre les plus concrètes, les plus drôles, les plus angoissantes,...


~Le Fou~ le 14-05-2010 à 23:06
 

Désolé de ne pas être revenu plus tôt. Donc voici une rencontre "du première type":


Le 14 Février 1975 un homme vivant à St Denis, dit avoir vu depuis son domicile, je cite "trois lumières, situées à une hauteur considérable. Elles étaient immobiles et ne ressemblaient pas à des étoiles. Ces lumières puissantes se sont déplacées [...] J'ai remarqué par la suite, que deux de ces lumières se trouvaient sur une même ligne et la troisième diffusant un éclairage plus intense séparée des autres. [...] Cet objet volant s'est déplacé en direction du Cap Bernard. Le lendemain par la radio, j'ai appris qu'un habitant du sud de l'île avait vu à terre un objet volant non identifié.

Sources: Le nouveau défi des OVNIs de Jean-Claude Bourret


Et voici la rencontre du second type :

Trans-en-Provence dans le Var, 1981 aux alentours de 17 h le 8 janvier.

Monsieur Renato Nicolaï était en plein travail dans son jardin, soudain, il entendit dans son dos un léger sifflement. Il se retourna et vit un “engin couleur de plomb”. L'objet descendit lentement entre les arbres de son jardin sans aucune rotation. Monsieur Renato Nicalaï est à 30 mètres du phénomène qui atteint le sol à la limite de son terrain. L'atterrissage ne dure que quelques instants, puis l'objet redécolle en soufflant un peu de poussière, toujours avec le même sifflement, sans autre bruit.
Sur le sol un cercle d'environ deux mètres de diamètre et à certains endroits, sur la courbe du cercle, on peut observer des sortes de traces de dérapage. Dès le lendemain, les gendarmes questionnent le témoin, établissent un constat des traces, mesurent, photographient et rédigent un rapport qui sera envoyé au Groupe d'Etude des Phénomènes Atmosphériques Non Identifiés (GEPAN) qui ne se déplaceront pas tout de suite. Il demande à la gendarmerie de faire des prélèvements.
Et, c'est à partir de maintenant que l'affaire de Trans-en-Provence prend toute son importance. Pas moins de cinq structures d'analyse vont être mises à contribution et vont recevoir des échantillons afin d'éliminer tout risque d'erreur. Ils recevront chacun des prélèvements pris sur la trace elle-même et d'autres à l'extérieur de la trace.
On note sur les prélèvements de calcaire (pris sur la trace) la présence de phosphate, de zinc et de fer oxydé. On signale qu'une forte pression résultant d'un choc et d'un échauffement est à l'origine des traces sur le sol. Une recherche sur des altérations biochimiques éventuelles de la flore constate un vieillissement inexplicable des luzernes prélevées sur la trace et rien sur celles prélevées hors de la trace. En gros, la capacité de photosynthèse a été considérablement réduite sur les végétaux se trouvant sur la trace de l'atterrisage.


Sources: Blog de JohnDoe2012: http://johndoe2012.unblog.fr


Ensuite la rencontre du troisième type :

Ces événements se sont produits dans la nuit du 21 au 22 Août 1955, près de la petite ville de Kelly, et de la petite ville de Hopkinsville, dans le secteur rural de Christian County dans le Kentucky, États-Unis.

"Lucky" Sutton, comme ses amis et voisin l'appellent, était le "patriarche" de cette famille très "bluegrass". Un certain Billy Ray Taylor, de Pennsylvanie était à ce moment là en visite chez les Sutton, il avait quitté la maison pour aller pour de l'eau au puits, il n'y avait pas d'eau courante à la ferme Sutton. Au puits, il a vu une soucoupe volante brillante passer au dessus de la ferme et se poser à environ un quart de mile plus loin dans une ravine. Courant vers la maison, il a rapporté son observation avec excitation, et aucune des onze personnes n'a voulu le croire, personne ne sortit même de la maison pour vérifier.

Cependant, au-dehors, le chien de la famille s'est vite mis à aboyer comme un diable dehors. Comme cela se fait dans les campagnes du Kentucky en ce cas, Lucky et Billy sont sortis voir ce qui se passait. Le chien s'était caché sous la maison et on ne le verra plus de la soirée.

Lucky et Billy n'allèrent pas loin, figés sur place par la vision incroyable d'une tache lumineuse avançant vers eux, qui en se rapprochant apparut être une créature haute d'un mètre, qui avançait vers elles avec les bras vers le haut, comme pour se rendre. Cette créature des plus bizarres a été décrite comme ayant "deux grands yeux lumineux jaunes, plus sur le côté que dans un visage humain, une longue bouche mince, de grandes oreilles, des jambes courtes et minces, des bras très long et de larges mains finissant par des sortes de serres."
L'un s'empara d'un pistolet, l'autre d'un 22 long rifle, projetant de tirer d'abord, et de poser les questions plus tard, comme il est de coutume. Quand la petite entité fut à 6 ou 7 mètres d'eux, Billy et Lucky l'accueillirent avec un feu nourri. Les deux hommes ont par la suite bien précisé qu'il n'y avait aucune chance qu'ils aient manqué la créature à distance si courte, mais le petit être tomba simplement à la renverse, fit une roulade et fila se cacher vers les bois.

A peine les deux hommes eurent-ils réintroduit la maison, qu'une autre créature de même aspect, ou bien effectivement la même, apparaît à une fenêtre du living. Ils tirent, laissant un trou à travers la vitre, puis courent vers la porte pour voir dehors si la créature est morte. Alors qu'ils se tiennent sous le porche, les hommes ont été terrifiés par une main griffée tendu depuis le toit du porche pour attraper leur cheveux. Ils tirent, mais l'être flotte tout simplement vers la terre, et se met à couvert dans les buissons. Les deux hommes cherchent à nouveau protection dans la maison, mais ils vont de trouver sous le siège de ces petits hommes. Pendant au moins trois heures les entités taquinent la famille, apparaissant d'une fenêtre à l'autre. Prenant des projectiles tirés à travers les fenêtres en pleine poitrine, ils font des roulades arrières, s'en vont, reviennent, flottent dans les airs. Les armes sont totalement inefficaces.

A de nombreuses reprises les créatures approchèrent la maison, leurs bras levés au dessus de leur tête comme en une sorte de geste amical. Les deux hommes faisaient feu sur eux, la balle faisait un son métallique quand elle les touchait, comme si elle avait été tirée au fond d'un seau en fer. Les créatures étaient renversées, ou flottaient dans l'air, et filaient en se relevant ou à quatre pattes vers les fourrés, pour revenir encore quelques minutes plus tard. Les Sutton ont estimé qu'il pouvait y avoir eu une bonne douzaine de telles créatures les harcelant, lesquelles n'ont à aucun moment tenté de pénétrer la maison.

Après trois heures d'angoisse puis de panique, avec trois enfants angoissés qui pleurent ou hurlent, la famille Sutton se décide à abandonner la maison et à chercher de l'aide au commissariat de police de Hopkinsville. La ferme est située plus près de Kelly, mais le poste de police la plus proche était à Hopkinsville. Toute la famille coure vers leurs deux voitures et ont rapporté leur conte étrange au shérif Russell Greenwell.

Enfin ils parviennent à persuader les policiers qu'ils ne plaisantent pas, et ceux-ci accompagnent les hommes vers la ferme, utilisant plusieurs voitures. Mais à la ferme, la police ne trouve aucune trace des créatures, mais constate les nombreux trous de balle de fusil dans les fenêtres et les murs. Greenwell et sa vingtaine de policiers sont tous convaincus que les Sutton sont authentiquement effrayés par quelque chose, et tous sobres. Après une visite des environs, des rapports sur des "coups de feu tirés" et des "lumières dans le ciel" sont récoltés.

Ayant fait tout leur possible sans trouver une explication rationnelle à ces événements étranges, et ne trouvant aucune preuve concrète de la présence de visiteurs extra-planétaires non plus, les policiers repartent vers environ 02:15 du matin. Le lieux retombent dans l'obscurité, les créatures font leur retour. Elles ont recommencé à jeter des coup d'oeil par les fenêtres, apparemment par pure curiosité. On tire encore, mais toujours sans effet. Plusieurs heures durant, ce tapage continue, s'arrêtant une heure et demi avant le point du jour.


Sources: http://www.ufologie.net/htm/kelly55f.htm


~Le Fou~ le 05-07-2010 à 02:03
 
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